À mon retour de Russie j’ai été extrêmement occupé par de très nombreuses obligations. C’est seulement maintenant, à la fin de l’année, que je puis songer aux promesses que je vous ai faites. Je vous envoie donc par le même courrier, mon livre sur
Je n’ai pas encore eu le temps de rédiger le rapport que j’ai présenté à Erivan [sic][897]. Je pense mettre à profit les vacances pour le faire, et vous l’adresser dans une dizaine de jours.
Croyez, mon cher Collègue, à l’assurance de mes sentiments les plus cordiaux et à mes vnux les meilleurs pour la nouvelle année.
[signature]
Jacques Godechot
8
Toulouse, le 4 février 1970
Mon cher Collègue et Ami,
Je vous envoie, ci-joint, avec un retard dont je vous prie de m’excuser, le texte de la communication que j’ai présenté au Colloque franco-soviétique d’Erivan [sic].
Je vous serais très obligé de bien vouloir me faire savoir dans quelle revue vous avez l’intention de le publier. Est-ce dans
Croyez, mon cher Collègue et Ami, à mes sentiments les plus cordiaux.
[signature] Jacques Godechot
9
Toulouse, le 10 avril 1970 Mon cher Ami,
Je vous remercie beaucoup de m’avoir envoyé votre livre d’études sur «l’Histoire de la France» et sur «Les rapports entre la France et l’Union Soviétique»[899]. Il est très heureux que vos différents articles aient été réunis en volume. Je suis certain que cet ouvrage rencontrera un vif succus auprès des historiens français[900].
En attendant le plaisir de vous revoir à Moscou cet été[901], je vous prie de croire, mon cher Ami, à mes sentiments les plus cordiaux.
[signature] Jacques Godechot
10
Toulouse, le 6 avril 1972 Cher Ami,
Je vous remercie beaucoup de m’avoir envoyé votre livre d’études sur «Napoléon Bonaparte»[902]. Comme malheureusement j’ignore la langue russe, je n’ai pas pu le lire, mais j’ai vu en feuilletant l"index fît en me reportant aux notes que vous aviez cité plusieurs de mes ouvrages. J’espnre que ce livre sera prochainement traduit en français [903] et que j’aurai le plaisir de le lire[904]. En attendant,