Je n’ai peut-être pas assez insisté ce matin pour vous dire à quel point la Faculté des Lettres de Toulouse serait heureuse que vous veniez y faire une ou deux conférences. Je me permets de vous précisiez que, si vous vous décidez, la Faculté prendra à sa charge vos frais de voyage et du séjour. J’espnre, en tout cas, que si vous ne pouvez venir maintenant, vous ne manquerez pas d’inscrire Toulouse dans votre prochain programme de voyage.
Veuillez croire, mon cher collngue, à mes sentiments les plus cordialement dévoués.
[signature]
Jacques Godechot
2
Toulouse, le 10 août 1966
Mes chers collègues,
Je vous remercie de m’avoir envoyé, avec une aussi aimable dédicace
En attendant que nous ayons l’occasion de nous rencontrer, je vous prie de croire, Mes Chers Collègues, à mes sentiments les plus cordiaux.
[signature]
Jacques Godechot
3
Toulouse, le 7 février 1967 Mon cher collègue,
Je vous remercie beaucoup d’avoir eu l’amabilité de m’envoyer votre ouvrage sur «La Grande Révolution française»[887]. Il me para’t extrêmement intéressant et original. Je vais le lire avec le plus grand plaisir [888].
J’espnre avoir bientôt l’occasion de vous rencontrer. Je souhaite surtout qu’à votre prochain voyage en France, vous puissiez venir jusqu’à Toulouse, et en attendant, je vous prie de croire à mes sentiments les meilleurs.
[signature] Jacques Godechot
4
Toulouse, le 14 avril 1967 Mon cher collngue,
Je vous remercie beaucoup de m’avoir envoy é l’annuaire des études historique de 1965[889]. J’ai lu avec plaisir le résumé français des études relatives à la Révolution. L’une de celles-ci a été publiée dans les
En attendant le plaisir de vous revoir, croyez, mon cher collngue, à mes sentiments les meilleurs.